Qu’est-ce que l’abréviation ESG et pourquoi est-elle si importante ?

Que sont les critères ESG ? Qu’est-ce que le reporting ESG et comment respecter la législation applicable ? Nous évoquerons également les scores ESG dans cet article.

ESG – Index

« Environmental », « Social » et « Governance » (ESG) : de quoi s’agit-il et pourquoi est-ce important ?

Grâce aux critères ESG, les entreprises peuvent contribuer à la création d’un avenir durable et inclusif. Envie de savoir ce que cela signifie pour vous ? Dans cet article, je fournis une explication sur les critères ESG, sur leur importance et sur leur application efficace dans votre organisation.
femme sentant papier rose

Un jour, un groupe de collaborateurs issus d’une entreprise convaincue par les principes ESG a décidé d’organiser un concours d’écologie au bureau. Ils se sont mis au défi d’utiliser le moins de papier possible pendant un mois. L’initiative s’est rapidement transformée en une véritable compétition hilarante où chacun y allait de ses solutions créatives : enveloppes pliées ou véritables œuvres d’art sous forme d’origamis créées à partir de mémos recyclés. Non seulement, les collaborateurs ont sauvé des arbres, mais ils ont aussi gagné en cohésion. Constatez par vous-même : des petits changements peuvent avoir de grandes répercussions.

Que sont les critères ESG ?

Ces trois lettres désignent les termes « Environmental », « Social » et « Governance ». Il s’agit d’un concept permettant d’évaluer l’impact sociétal et sur la durabilité des entreprises et organisations. Il vous est familier ? Ce concept est-il comparable à la responsabilité sociétale des entreprises (RSE) ? La différence est minime. Que l’on adopte une stratégie RSE ou ESG, l’important est de favoriser une entreprise respectueuse du climat et agissant de manière sociale et éthique. L’avantage des critères ESG par rapport à la RSE ? Ils ont une plus grande vitrine à l’international. Par exemple, des normes (européennes) ont été établies et il est plus facile, en tant qu’entreprise (internationale), de pouvoir en faire rapport.

Lisez aussi : ESG, la nouvelle responsabilité sociétale des entreprises

D’où viennent les critères ESG ?

Les principes ESG reposent sur les 17 objectifs de développement durable établis par les Nations unies (ONU). Connus sous le nom d’objectifs de développement durable (ODD), ces objectifs ont été définis par les Nations unies pour lutter contre la pauvreté, favoriser la croissance économique et protéger le climat.

Les critères ESG peuvent être liés aux ODD de toute entreprise. Les 17 ODD ont été déclinés en 10 principes ESG qui donnent aux entreprises une ligne directrice à suivre pour développer une stratégie ESG.

  1. Elles doivent adhérer aux droits humains internationaux et les respecter.
  2. Les entreprises ne peuvent pas agir en violation aux droits humains internationaux.
  3. Elles doivent défendre la liberté d’association et le droit à la négociation collective.
  4. Elles doivent éliminer toutes les formes de travail obligatoire ou forcé.
  5. Elles doivent abolir le travail des enfants.
  6. Elles doivent éliminer la discrimination en matière d’emploi et de profession.
  7. Les entreprises doivent soutenir les mesures de précaution face aux défis environnementaux.
  8. Elles doivent prendre des initiatives pour assumer plus de responsabilités en matière d’environnement.
  9. Les entreprises doivent encourager le développement et la diffusion de technologies respectueuses de l’environnement.
  10. Elles doivent lutter contre toutes les formes de corruption, y compris l’extorsion et la subornation.

graphique ODD

Comment élaborer une bonne politique ESG ?

En 2023, les entreprises ne peuvent plus se contenter de simplement déclarer qu’elles adhèrent aux ODD. Une politique ESG efficace requiert une approche plus poussée : il faut chercher activement comment créer une incidence positive dans le cadre de vos activités quotidiennes. Cette politique dépasse les belles paroles ; des actions concrètes sont essentielles afin de contribuer à la durabilité, la responsabilité sociétale et la bonne gouvernance.

Une politique ESG solide repose sur la définition d’objectifs mesurables. Ces objectifs vous permettent de mesurer et d’évaluer les progrès et l’efficacité de vos efforts en matière de durabilité. Toutefois, ce ne sont pas uniquement les objectifs qui font défaut. Les rapports et la manière dont les résultats sont mesurés sont souvent insuffisants.

Rapports ESG

Dans un rapport ESG, vous partagez des données qualitatives et quantitatives sur la manière dont votre entreprise agit en matière d’environnement, de société et de gouvernance. Vous donnez des précisions sur les activités ESG de votre entreprise, vous renforcez la transparence vis-à-vis des investisseurs et inspirez d’autres organisations à faire de même. En outre, vous montrez comment vous atteignez vos objectifs et prouvez l’authenticité de vos projets ESG, c’est-à-dire que vous ne pratiquez pas de « greenwashing ». Ce terme renvoie aux entreprises qui trompent leur public en prétendant être plus vertes ou plus durables qu’elles ne le sont vraiment.

Pour la plupart des entreprises, l’établissement de rapports portant sur les critères ESG constitue un véritable défi. Les paramètres ESG diffèrent notamment d’un secteur à l’autre, mais aussi en fonction de la taille de l’entreprise ou de sa complexité. La législation et les normes en matière de reporting jouent également un rôle important à cet égard.

Lisez aussi : Les défis d’une stratégie ESG

Comment établir un rapport ESG ?

Dans un rapport ESG, les entreprises font l’objet d’une analyse sur les plans environnemental, social et de la gouvernance. À l’aide d’un score ou d’un score ESG, elles se voient attribuer une place dans un classement sur la base de comparaisons avec d’autres entreprises similaires.

  1. Environmental (Environnement)
    Ce critère renvoie aux actions qu’une entreprise entreprend pour être respectueuse de l’environnement, comme la réduction des émissions ou la promotion de l’efficacité énergétique. Cet aspect concerne :
    - la manière dont une entreprise s’efforce de lutter contre le changement climatique ;
    - les mesures prises par l’entreprise pour diminuer les émissions de CO2 ;
    - la manière dont une entreprise contribue à préserver la biodiversité, à améliorer la qualité de l’air et de l’eau, à prévenir la déforestation et à gérer les déchets de manière responsable ;
    - la manière dont une entreprise gère de manière durable les ressources naturelles et assure une chaîne d’approvisionnement responsable ;
    - ce qu’une entreprise met en place pour réduire ses propres émissions.

  2. Social (social)
    Cet aspect concerne les relations d’une entreprise avec ses employés, ses clients, les collectivités et les autres parties prenantes. Voici quelques exemples :
    - la manière dont l’entreprise veille au bien-être de ses employés et offre un environnement de travail sûr ;
    - les efforts déployés par l’entreprise pour promouvoir l’inclusivité (identités de genre, communauté LGBTQ+) ;
    - la manière dont l’entreprise encourage l’engagement de ses employés ;
    - les mesures prises pour garantir la protection des données et le respect de la vie privée ;
    - l’engagement social de l’entreprise ;
    - la garantie des droits humains et le bon respect des normes du travail.

  3. Governance (gouvernance)
  4. Ce critère se réfère à la manière dont une entreprise est gouvernée et gérée. Il est principalement question de la transparence de l’entreprise quant à ses rapports financiers, mais aussi de ses pratiques commerciales éthiques (ou contraires à l’éthique), de l’indépendance de ses dirigeants et de l’existence de systèmes de contrôle internes. Il s’agit de :
    - contrôles internes d’une entreprise ;
    - la définition de politiques, de principes et de procédures concernant la direction, la structure de gouvernance, la rémunération des administrateurs, la commission d’audit, les droits des actionnaires, la prévention de la corruption, les pratiques de lobbying, les dons aux partis politiques et la protection des lanceurs d’alerte.

Qu’est-ce qu’un score ESG ?

Un score ESG est comparable à une notation de crédit, mais en matière de durabilité. Il indique la mesure dans laquelle une entreprise traite les questions environnementales, la responsabilité sociale et la bonne gouvernance. Le score montre dans quelle mesure l’entreprise respecte ses obligations en matière de durabilité, quelles sont ses performances dans ces domaines et quels sont les risques qu’elle court.

L’attribution d’un score ESG est relativement nouvelle, ce mécanisme peut donc présenter quelques faiblesses. De nombreuses entreprises proposant des scores ESG s’appuient sur des informations transmises par les entreprises elles-mêmes. Il peut y avoir un écart entre le score et les performances réelles en matière de durabilité.

Afin d’améliorer les scores ESG et de les rendre plus précis, il est essentiel d’adopter une approche équilibrée. Un bon score ESG s’appuiera sur un mix d’informations, y compris des données fournies par l’entreprise elle-même, mais aussi sur l’utilisation de technologies, comme le traitement du langage naturel et l’apprentissage automatique, comme l’IA.

Comment obtenir un score ESG ?

L’établissement de relations commerciales avec des entreprises éthiques est une source de préoccupation croissante pour les entreprises. Et nous comprenons tout à fait cette importance qu’elles leur accordent. Les entreprises souhaitent ainsi limiter les risques, augmenter leur résilience et améliorer leurs performances.

Chez Altares, nos critères ESG simplifient plus que jamais le processus de sélection de partenaires éthiques et durables. Besoin d’informations ESG essentielles concernant vos clients ou vos fournisseurs ? Demandez un ESG Ranking Report . Vous souhaitez intégrer les critères ESG dans votre processus de diligence raisonnable ? Utilisez notre plateforme ESG D&B. Et si vous utilisez déjà les scores d’EcoVadis en matière de durabilité, vous pouvez les intégrer sans problème dans notre solution tout-en-un KYC (Know Your Customer) indueD.

Nos données ESG proviennent d’un large réseau de millions de sources mondiales fiables. À l’aide de ces données, nous établissons des classements ESG détaillés pour des catégories spécifiques couvrant pas moins de 13 thématiques ESG. En outre, nos classements ESG sont élaborés selon des cadres de référence reconnus en matière de durabilité, ce qui signifie qu’ils sont conformes à des normes internationales et des lignes directrices concernant les rapports sur la durabilité. En tant qu’entreprise, vous pouvez satisfaire aux exigences légales et à la réglementation ESG, et vous positionner comme organisation responsable et durable.
graphique Thèmes ESG

Législation et réglementation portant sur les critères ESG

Ces dernières années, de nombreuses législations et réglementations ont été adoptées en matière d’ESG, principalement à l’échelon européen. Ces lois visent principalement les grandes entreprises, mais comme l’ensemble de leur chaîne d’approvisionnement doit également se conformer à cette législation, elles ont souvent une incidence considérable sur les plus petites entreprises. Avec le temps, les PME seront de plus en plus concernées par le bon respect de la législation et de la réglementation portant sur les critères ESG.

Envie de savoir quelles sont les règles qui s’appliquent à votre entreprise ?
Nous vous présentons les principales législations et réglementations en matière d’ESG.

Règlement sur la publication d’informations en matière de durabilité (SFDR)

Depuis mars 2021, le SFDR est applicable. Il s’agit d’une réglementation importante concernant les acteurs financiers du marché, comme les fonds de pension, les gestionnaires d’investissements et les organismes semblables. Ce règlement impose à ces parties l’obligation de rendre accessibles les informations en matière de durabilité. Il s’agit non seulement du résultat final de leurs processus d’investissement, mais aussi de la responsabilité des risques pris en matière de durabilité.

Le SFDR est complet et détaillé, et exige une quantité considérable d’informations. Il est important de noter que cette réglementation s’applique à tous les acteurs financiers du marché, qu’ils soient ou non activement engagés dans le domaine de la durabilité. Même si une organisation propose des produits durables, des règles encore plus strictes s’appliquent.

Règlement sur la taxinomie

Depuis janvier 2022, les acteurs financiers du marché sont légalement tenus de fournir un cadre conceptuel commun permettant d’expliquer clairement la façon dont la communication relative aux investissements durables doit être mise en place. Cette nouvelle réglementation a pour objectif de favoriser la clarté et la transparence dans le secteur et de contribuer à une meilleure compréhension des investissements durables.

CSRD (Directive sur la publication d’informations en matière de durabilité par les entreprises)

La directive sur la publication d’informations en matière de durabilité par les entreprises (CSRD) constitue une étape importante pour les entreprises de l’Union européenne (UE) dans l’identification des risques ESG et la fourniture d’informations en matière de durabilité à leurs parties prenantes. Cette directive étend la portée de la directive sur la publication d’informations non financières qui était applicable aux plus grosses entreprises de l’UE depuis 2014. La CSRD s’applique aux entreprises qui répondent au moins à deux des trois critères suivants :

  1. l’entreprise compte 250 employés ou plus ;
  2. l’entreprise réalise un chiffre d’affaires annuel qui dépasse les 40 millions d’euros ;
  3. l’entreprise possède un total de bilan qui dépasse les 20 millions d’euros.

La nouvelle directive entrera en vigueur en janvier 2024 et portera sur l’exercice 2023. Elles doivent donc commencer à rassembler leur documentation ESG dès 2023 afin de répondre aux exigences de conformité en 2024. Il est important de noter que la CSRD s’appliquera aussi aux entreprises plus petites au sein de l’UE dans les années à venir. Les petites et moyennes entreprises sont, pour le moment, exemptées d’appliquer la directive jusqu’à l’exercice 2026, mais elles seront tout de même confrontées aux exigences de leurs partenaires qui sont soumis à la directive CSRD.

Directive sur le devoir de vigilance des entreprises en matière de durabilité (CSDD)

Le 1er juin 2023, l’Union européenne a adopté la directive sur le devoir de vigilance des entreprises en matière de durabilité (CSDD). Cette directive vise à encourager les entreprises à intégrer les droits humains et la protection de l’environnement dans leur gestion d’entreprise. Les nouvelles règles s’appliquent aux :

entreprises
chiffre d'affaires net mondial*
collaborateurs
sociétés basées dans l’UE
> 40 millions d’euros
> 250 collaborateurs
sociétés mères basées dans l’UE
> 150 millions d’euros
> 500 collaborateurs
entreprises basées hors UE
> 150 millions d’euros, dont
au moins 40 millions d’euros générés dans l’UE
Non applicable
sociétés mères basées hors UE
> 150 millions d’euros, dont
au moins 40 millions d’euros générés dans l’UE
> 500 collaborateurs

* Lorsqu’il s’agit de déterminer le seuil du chiffre d’affaires total d’une entreprise non européenne au sein de l'Union européenne, il est essentiel de mentionner que ce chiffre d’affaires ne concerne pas uniquement les revenus directs de l’entreprise elle-même. Il comprend aussi les revenus issus de collaborations avec d’autres entreprises de l’Union européenne. Par exemple, l’entreprise non européenne a conclu des accords pour l'utilisation de ses produits ou sa marque contre paiements.

Conformément à cette réglementation, les entreprises soumises à la directive sur le devoir de vigilance des entreprises en matière de durabilité (CSDD) doivent publier une stratégie de diligence raisonnable. Elles doivent y indiquer comment elles traitent les questions comme le travail des enfants, la traite des esclaves, les émissions, la corruption… Ce n’est pas seulement leur propre chaîne d’approvisionnement, mais également leurs fournisseurs et leurs contractants, tant au sein de l’Union européenne qu’en dehors, qui seront touchés par cette réglementation.

La législation peut conduire les entreprises soumises à la directive CSDD à demander des documents à de plus petites entreprises visant à prouver qu’elles respectent leurs obligations de diligence raisonnable. Les entreprises soumises à la directive CSDD sont tenues de s’assurer que leurs partenaires et fournisseurs respectent les normes de durabilité. Il est probable que la directive CSDD n’entre pas en vigueur avant 2025 ou 2026 au plus tôt.

Normes des rapports ESG

L’élaboration d’un rapport ESG est d’autant plus compliquée qu’il existe plusieurs normes d’établissement de rapports parmi lesquelles choisir. Les normes d’établissement de rapports ESG les plus connues sont :

Global Reporting Initiative (GRI)

Il s’agit d’une initiative indépendante et internationale qui aide les entreprises à assumer leurs responsabilités quant à leur impact. La norme GRI favorise une communication uniforme sur l’impact d’une entreprise et se compose de normes universelles, sectorielles et thématiques. Ces normes proposent une approche structurée pour dresser un rapport ESG complet ou pour aborder des sujets spécifiques sur les sites web ou dans les rapports intermédiaires.

Sustainability Accounting Standards Board (SASB)

Le SASB a conçu un canevas ESG afin d’aider les entreprises à établir des rapports ESG. Il distingue les secteurs et les différencie en fonction du secteur choisi, étant donné que l’objectif peut être différent d’un secteur à l’autre. Le canevas n’est pas un formulaire à remplir, mais plutôt une liste détaillée de sujets qui doivent être abordés dans les lignes d’un bon rapport ESG. Mis en place aux États-Unis, le SASB tient compte des normes américaines.

Task Force Climate-related Financial Disclosures (TCFD)

Le groupe de travail sur la publication d’informations financières relatives au climat (TCFD), mis en place en 2015 par le Conseil de stabilité financière (CSF), a pour objectif d’harmoniser le reporting ESG. Cette initiative a été lancée par les Nations unies et vise les banques, les assureurs et les investisseurs. L’objectif est d’accroître la transparence du secteur financier en matière de durabilité pour une économie plus stable et plus durable.

Carbon Disclosure Project (CDP)

Bien que ce projet était à l’origine centré sur la mesure et le reporting des émissions de CO2, il s’est ensuite étendu à d’autres aspects liés à l’environnement. Dans le cadre de ce projet, des données sont collectées auprès de milliers d’entreprises au sujet de leurs performances environnementales et sont mises à la disposition d’investisseurs et du public.

Integrated Reporting (IR)

Ce reporting met l’accent sur l’intégration d’informations financières et non financières dans un rapport unique, en se concentrant sur la création de valeur à long terme. Il aide les entreprises à dresser un tableau complet de leurs performances et de leur impact ainsi que de la manière dont elles génèrent de la valeur pour toutes les parties prenantes.

International Sustainability Standards Board (ISSB)

Récemment, le conseil des normes internationales d’information sur la durabilité (ISSB) a lancé deux nouvelles normes : IFRS S1 et IFRS S2. Elles sont conçues pour être parfaitement intégrées dans les rapports financiers des entreprises. La norme IFRS S1 vise les rapports généraux en matière de durabilité et utilise les principes TCFD pour les sujets non liés au climat. D’autre part, la norme IFRS S2 concerne les questions liées au climat, comme les émissions et les risques, et utilise l’approche TCFD. Ces nouvelles normes permettent aux entreprises de communiquer des informations financières et de développement durable de manière intégrée et standardisée.

La difficulté réside dans le fait que le choix de la bonne norme de reporting est crucial. Il est essentiel d’examiner quelle norme est la plus pertinente pour votre secteur spécifique, votre modèle d’entreprise et vos parties prenantes. Une norme peut mieux correspondre à la nature de vos activités commerciales, alors qu’une autre peut mettre davantage l’accent sur l’impact environnemental ou les aspects sociaux.

Quels sont les avantages que présente un rapport ESG pour mon entreprise ?

Outre le respect de la réglementation, l’élaboration d’un rapport sur la durabilité présente de nombreux avantages pour les entrepreneurs.

  1. Des performances en matière de durabilité améliorées
  2. Les rapports ESG aident les entreprises à déterminer leur impact sur l’environnement, la société et leurs pratiques de gouvernance. Cela favorise la prise de conscience et la responsabilité, ce qui permet d’améliorer les performances en matière de durabilité et d’adapter les stratégies pour un impact positif à long terme.

  3. Une meilleure gestion des risques
  4. Grâce à l’analyse des facteurs non financiers, les entreprises peuvent identifier les risques qui pourraient par ailleurs passer inaperçus. Les rapports ESG fournissent des informations sur des questions telles que le changement climatique, les risques en matière de réputation, les vulnérabilités de la chaîne d’approvisionnement et bien d’autres encore. Les entreprises peuvent alors agir de manière proactive pour limiter les risques.

  5. Un plus grand attrait pour les investisseurs
  6. De plus en plus de jeunes investisseurs prennent en compte la durabilité et les critères ESG dans leur prise de décision. Les rapports sur les performances ESG augmentent l’attrait de l’entreprise pour les investisseurs qui recherchent des rendements à long terme et un impact sociétal positif.

  7. Des relations renforcées avec les parties prenantes
  8. Les rapports ESG favorisent la transparence et la confiance des clients, des employés, des fournisseurs et des communautés. Ces rapports démontrent l’engagement de l’entreprise à l’égard des questions sociales et renforcent sa crédibilité.

  9. Innovation et efficacité
  10. L’analyse des performances ESG peut aboutir à des solutions innovantes permettant d’agir de manière plus durable. Elle permettra de réaliser des économies et de profiter d’avantages concurrentiels dans un environnement commercial en évolution rapide.

  11. Réputation positive
  12. Les entreprises qui établissent des rapports ESG et s’engagent en matière de durabilité se forgent une réputation positive auprès des clients, des employés et des autres parties prenantes, ce qui leur permet d’attirer et de fidéliser les talents et les clients.

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